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vis-à-vis du style à l'instant de la contraction.

Supposons maintenant (?) que l'expérience ait été faite en opérant sur un point A du nerf le plus près possible de l'insertion au muscle. Sans rien changer au reste de l'appareil, apportons - y cette seule modification, savoir, que le courant aille cette fois ci stimuler un point B du nerf le plus distant possible de la même insertion. (?) En répétant l'expérience, on obtient encore une courbe * *d'une forme absol. congruente absolument (?) identique à la dernière (?) tracée en irritant le point A. Mais (?) la nouvelle courbe se trouve déplacée latéralement par rapport à (?) l'autre, dans le sens des abscisses positives, d'une quantité égale pour tous ses points; ou bien, ce qui revient au même, la partie de l'abscisse qui répond au temps perdu, comprise entre l'origine et le point de dédoublement, est plus grande pour la courbe qui appartient au point B que pour celle qui apportient au point A. (Répétant l'expérience au point A, on obtient encore une courbe identique avec les premières, mais cette fois-ci plus rapprochée de nouveau de l'origine dans tous ses points.) Il faut ajouter Il (?), que leur situation rélative les deux courbes n'est pas changée, , si l'on commence par irriter le point B et finit par le point A. On voit donc que l'action musculaire reste tout-à-fait la même dans les deux cas, soit qu'on irrite en A, soit en B; dans les (?) conditions de l'expérience, cette action, en effet, est (?) entièrement indépendante de la distance [du point] stimulé du nerf comptée à partir de l'insertion au muscle. Je ne crois crois pas, (?) d'après cela, que l'on puisse raisonnablement attribuer le déplacement latéral de la courbe dans le cas (?) du point B stimulé à autre chose qu'au plus long trajet que l'agent nerveux est alors censé parcourir dans le nerf pour venir opérer la contraction du muscle. Inutile de dire, au reste, que les mesures de vitesse de l'agent nerveux obtenues par ce nouveau moyen s'accordent parfaitement (?) avec celles formes par la méthode de M. Pouillet. '

(?)

' J'ai réussi à conserver l'enduit de noir de fumée avec les courbes que le style y a tracées, en développant la circonférence du cylindre le long de la surface humide de lames bien unies et bien transparentes de culle de poisson, cellesque les graveurs en cuivre s'en servent pour le calque. Je celle (?) contre du papier la surface de la lame, qui a enlevé l'enduit au cylindre. C'est ainsi qu'ont été obtenus les * (éprouves?) que j'ai l'honneur de mettre sous les yeux de l'Académie.